smooth sailin' (jett)

♢♢ no more hiding who i wanna be, this is me.
Il ne porte que des chemises, ou alors peut-être quelques pulls en hiver. Il a vraiment du mal avec les t-shirts trouvant cela trop décontracté. | Il ne supporte que le café pur, sans sucre. | En parlant de bouffe, il est fan de burgers. Bien qu'il adore la bonne gastronomie, il ne peut s'empêcher de se restaurer dans un bon burger à la pause déjeuner. | Monica Belucci est définitivement son modèle féminin. Il a d'ailleurs une photo d'elle, en noire et blanc, dans un cadre minimaliste accroché à son mur. | S'il est passionné d'art, il déteste les tableaux flamands et ce style trop idéaliste. | S'est surprit quelques fois à regarder le TvShow de la famille Kadarshian et de se dire qu'elles seraient bien mieux dans son lit plutôt qu'à se pavaner à la télévision. | Pas grand fan de la technologie, il serait presque nostalgique des lettres qu'ils s'envoyaient enfant avec des amis. | Grand amoureux de tennis, c'est l'unique sport qu'il a réellement pratiqué. Plusieurs fois il s'est rendu à de grands championnats tels que le Roland Garros soutenir ses favoris. | Il a un deux frères, beaucoup plus jeunes que lui. Il n'a jamais été forcément proche de sa famille mais ne s'en souci guère. Ce n'est pas une priorité pour lui, malgré les valeurs familiales qui lui ont été éduqué. | Il apprécie cependant particulière son grand-père, Jon, sacré pêcheur. Il le suivait dans toutes ses expéditions les plus farfelues les unes que les autres. | Pas spécialement fan des films à l'eau de rose, il considère Nos étoiles contraires comme une mascarade, ne supportant pas qu'on prenne la maladie comme une soi-disant preuve d'amour. Pour avoir eu un ami qui a eu un cancer, il a retrouvé la représentation tout à fait idiote. | Il n'a pas forcément soutenu les débats sur le mariage homosexuel mais est fier que les États-Unis fasse un nouveau pas vers la différence et la solidarité. | Lève tôt, il lui est impossible de se lever après 7h35, même après une soirée bien arrosée. | Il boit beaucoup de vin.

♢♢ all the past is just a lesson that we've learned.

Elle balance son corps, de gauche à droite, des vagues maîtrisées. Tu es sûr qu'elle fait ça tous les soirs. Qu'elle se colle à chaque homme qui semble assez charismatique et friqué surtout. Mais son regard te transperce plus que ses hanches. Elle semble différente. Ses cheveux blonds claquent sur son dos, sur les épaules des hommes qui l'entourent. Tu t'approches d'elle. Ton bassin claque petit à petit ses courbes et la danse des corps commence peu à peu. Tu es surpris qu'elle se laisse aussi faire. Tu l'as pensait un peu plus inaccessible. Ce jeu semble facile. Jusqu'à ce qu'elle se retire de ton étreinte pour aller voir ailleurs. Tu ne maîtrises rien et déjà te sens bercé par ce sourire. " Edna. " te glisse-t-elle à l'oreille avant de sans aller. Mais tu la bloques. Tu lui saisis le poignet et c'est sans surprise que tu finis la soirée avec elle.
- Gros ça va ? - Ouais ouais, je te rends ton fric vendredi. Désolée c'est la dèche là un peu.. - Comme tout le monde. - Ton gosse il va bien ? - Comme son père, l'école l'enchante pas trop. - Je passe à l'appart ? Gisèle manque un peu. - Tu lui manques aussi, faudrait vraiment que tu passes. Greg pourrait venir aussi. - Ouais Greg se serait bien. - Ça fait longtemps. - Notre vie est merdique, tu le sais ça. - Rencontre quelqu'un. - J'en ai rien à battre des gens. Ça t'as pas rendu plus heureux de te marier. - Au moins ça m'a donné l'illusion. - On parle vendredi, je dois bosser. - Démissionne Jett. Il est pourri ton taff. - Ouais ouais. Je vais parler à ma chef. - Et quoi ? Tu vas la sauter pour qu'elle te donne une prime ? - Rho tu saoul mec ! A vendredi. (BIP)
" Jett.." Tu te retournes, calant ton crâne sur le buste de ton amante. Elle est restée dans ton lit. Cas particulièrement exceptionnel. Tu n'emmènes jamais tes femmes chez toi, encore moins tu les laisse dormir à tes côtés. Mais celle-ci est différente et elle connaît ton lit mieux que quiconque pour y avoir été à de nombreuses reprises. C'est un réveil en douceur. Rien de romantique. Rien de niais. Juste un peu de convivialité dans ses caresses. Elle sait tellement bien masser ton crâne. Tu sembles être un enfant. Un enfant qu'il faut apaiser. " Je crois bien qu'il faut que tu ailles au bureau. " Tu essayes d'ouvrir petit à petit les yeux. Tu es dimanche et pourtant il faut que tu ailles travailler. La directrice t'a chargé d'illustrer, comme d'habitude, l'entête d'un foutu livre qui accueillera les plus bonnes critiques mais qui ne durera que quelques mois en librairie. Un livre de cul. Tu en as bien marre de cette mode. Décrire la sexualité comme un acte prouvant la soumission, l'attachement à l'autre. Hormis les livres sur les sciences, aucun ne montre que le sexe n'est qu'acte de reproduction. Le désir n'est qu'optionnel ; bien que tu le prônes, tu ne supportes pas de voir ces pucelles lire et lire ces écrits sauvages sans jamais rien commettre de bestial. Tu embrasses la jeune femme sur le front et te faufile. Le travail t'attend voyons..